Protecting Ozone layer (French)

La couche d'ozone est l'une des couches protectrices de la terre.  L'appauvrissement de la couche d'ozone est une grande source de préoccupation parmi l'intelligentsia du monde.  Grâce aux mesures que le monde a prises dans les années 1980 pour protéger la couche d'ozone, une région de la haute atmosphère qui absorbe les rayons ultraviolets (UV) nocifs du Soleil, nous avons un problème environnemental de moins à craindre.  Au milieu des années 1970, un scientifique s'est rendu compte que la couche d'ozone était en train de s'appauvrir en raison de l'utilisation croissante des chlorofluorocarbures (CFC) comme réfrigérants et propulseurs dans les bombes aérosols, entre autres applications.  Avec la signature en 1987 du Protocole de Montréal, qui a été renforcé par de nombreux amendements et ratifié par 197 pays, le monde a progressivement éliminé les CFC.  Aujourd'hui, les niveaux de CFC dans l'atmosphère sont en baisse et la couche d'ozone commence à se reconstituer.  Mais et si le protocole de Montréal n'était jamais signé ?  À quoi aurait ressemblé le monde que nous avons réussi à éviter ?  Cela m'intéresse, et je vous demande de donner votre avis à ce sujet pour que le blog puisse s'improviser.  .... Dans des recherches antérieures, les scientifiques ont montré qu'il y aurait eu des milliers de cas de cancer de la peau supplémentaires dans un tel monde, où la couche d'ozone est plus mince et des niveaux plus élevés de rayonnement UV atteignent la surface de la planète.  Il y aurait également eu un réchauffement climatique supplémentaire, car les CFC comme le dioxyde de carbone sont également des gaz à effet de serre, bien que beaucoup plus puissants.  Nous nous sommes concentrés sur ce qui aurait pu arriver à la végétation.  Comme les humains, les plantes sont endommagées lorsqu'elles sont exposées à des niveaux élevés d'UV.  Les plantes absorbent le dioxyde de carbone au fur et à mesure de leur croissance, mais lorsque le rayonnement UV augmente de 10 %, les plantes accumulent 3 % de biomasse en moins.  Sans le protocole de Montréal, nous avons estimé que les niveaux d'UV auraient été en moyenne 4,5 fois plus élevés à l'échelle mondiale qu'aujourd'hui à la fin du siècle.  Nous devons nous occuper de la couche d'ozone avec les efforts que nous n'avons pas faits auparavant.  Nous devrions autant que possible mettre davantage l'accent sur les plantations et l'énergie verte.  Les sources d'énergie renouvelables devraient être placées dans toutes les sphères de la vie.