Mother nature(French)mère Nature

Voyons, dans les affaires, lorsque les travailleurs s'arrêtent, l'entreprise subit des pertes et finit par fermer. Cependant, si la nature cesse de fonctionner, le monde lui-même s'arrête. Au moins désormais, après avoir connu les souffrances intenses de cette pandémie, l'homme devrait  mettre de côté son égoïsme, cesser de nuire à mère nature et reconnaître qu'elle est le maître ultime ; nous devons développer l'attitude selon laquelle nous ne sommes que des serviteurs de la nature. Nous devons pratiquer l'humilité, la servitude et le respect envers mère nature et la prier de nous pardonner tous nos  crimes contre elle. Avec la pandémie de coronavirus, la nature nous a enfin montré qu'elle ne souffrira plus et ne pardonnera plus toutes les indignités que nous lui infligeons ; l'air que nous respirons, l'eau que nous buvons, la nourriture que nous mangeons, la maison dans laquelle nous  dormir, le soleil qui nous donne de l'énergie - nous sommes redevables à Mère nature pour tout cela. Notre vie sur cette terre n'est possible que grâce aux efforts combinés de toutes ses créatures. Les rivières, les arbres, les abeilles, les papillons et les vers jouent tous leur  partie. S'ils ne l'ont pas fait  exister, il n'y aurait pas de vie. Si nous devions visualiser la nature comme un seul arbre, alors toutes les créatures seraient ses racines, ses branches, ses feuilles, ses fleurs et ses fruits. L'arbre ne devient entier que comme la totalité de ses diverses parties. Si un  une partie est détruite, le reste périra aussi bientôt.  Dans mon enfance, ma grand-mère m'avait demandé de ne pas toucher aux plantes et de ne pas cueillir les fleurs, car elle croyait qu'elles étaient des êtres vivants qui se reposaient.  pardon.. "Je fais ça parce que je n'ai pas d'autre moyen de survivre, s'il te plaît, pardonne-moi."  Les arbres n'ont jamais été considérés comme des objets non vivants.  Nous avions l'habitude de protéger les espèces de l'extinction, maintenant nous les y amenons. Tant d'efforts sont consacrés à l'éducation de nos enfants pour qu'ils deviennent des ingénieurs et des médecins, car nous voulons leur assurer un avenir heureux. Mais sans air pur, sans sol et sans eau,  ils ne pourront pas du tout survivre, et encore moins être heureux. Ainsi, si nous voulons protéger l'avenir de nos enfants, nous devons protéger la vie qui donne l'air, la terre et l'eau.  En vérité, nous nous sommes déjà égarés trop loin pour revenir dans cette vie, peu importe, essayons de revenir en arrière autant que possible.  Par « revenir en arrière », je ne veux pas dire que nous devons abandonner tout le confort du monde moderne et vivre comme un moine, simplement que la génération actuelle doit s'imprégner de valeurs spirituelles et les inculquer à ses enfants.  Nos efforts peuvent éloigner les pandémies, les tremblements de terre, les tsunamis, les inondations et le réchauffement climatique dans une large mesure.  Si nous sommes également unis dans nos efforts, nous pouvons reculer d'au moins 10 % du chemin. Mais nous avons également besoin du facteur de grâce. Pour cela, nous avons besoin d'efforts, d'humilité et de traiter la nature avec une attitude respectueuse et priante.  Pour aller de l'avant, nous devons être vigilants et prudents. Nous devons donner aux pensées spirituelles et aux actions désintéressées la même importance que nous accordons actuellement à nos objectifs à des fins matérielles. C'est le message de la Nature pour nous. Restons unis et travaillons ensemble avec amour,  compassion et patience.  La déforastration doit être arrêtée et la vie sauvage doit être protégée.